Mozart n’est pas le seul à avoir mis en musique le célèbre libertin. Vingt-six ans avant, Gluck a aussi composé un Don Juan, ballet-pantomime en trois actes, sur une chorégraphie de Gasparo Angiolini, d’après la pièce de Molière. La partition de Gluck est d’une importance inaccoutumée pour un ballet : elle ne comprend pas moins de trente numéros, d’une unité tonale remarquable, que Mozart suivra dans l’ouverture et le dénouement de son Don Giovanni.
Le programme proposera également des airs de Gluck, de Mozart, de Haydn…