Échafaudé autour de grandes pages musicales écrites « pour passer le temps » (pièces de symphonie, masques et canons, airs à chanter ou à boire, monologues et scènes de tragédie), la soirée bouscule et bascule, entre concert mis en scène et théâtre élisabéthain mis en musique. Il s’agit bien d’un cabaret avec en contrepoint l’apparition de personnages épiques, tous sortis d’un songe...